Splendeur mystérieuse de la pierre, savoir-faire d’une rare maîtrise – Beauregard ouvre un nouveau chapitre dans le dialogue entre le monde des gemmes et l’art horloger avec ses nouveaux modèles de la Collection Lili Onyx avec Lili et Lili Bouton.
Avec trois nominations au Grand Prix d’Horlogerie de Genève (2018, 2020 et 2023), Beauregard s’impose comme la seule marque horlogère indépendante pour les femmes. Pour les fêtes de fin d’année, Beauregard met élégamment en scène 8 carats d’onyx, mettant en lumière la pierre noire dans deux montres serties de diamants, Lili et Lili Bouton, disponibles en or blanc et en or rose.
« De la manière la plus insolite, le noir donne vie à la lumière ». Connu pour son affinité avec les pierres précieuses au caractère unique, Beauregard explore en profondeur les reflets du noir à travers l’onyx, cherchant à sculpter la lumière à travers sa texture de surface. Ici, les pétales polis à la main émergent de manière incroyablement lumineuse, accentuant l’éclat inné de la pierre. « J’aime la dominance du noir, sa gravité, sa radicalité et sa capacité à créer des contrastes puissants qui amplifient l’éclat des diamants et de l’or », ajoute Alexandre Beauregard, fondateur de la marque.
En cette fin d’année 2023, la seule marque horlogère indépendante dédiée exclusivement aux garde-temps féminins a choisi de mettre en avant l’élégance intemporelle de l’onyx pour les fêtes de fin d’année. L’onyx, pierre de protection, incarne à la fois la force et la sérénité. Célébré pour sa beauté énigmatique et ses vertus symboliques, on dit qu’il renforce la confiance en soi. La passion de Beauregard pour les pierres distinctives se retrouve dans chaque montre, les transformant de simples accessoires en véritables symboles de raffinement pour la femme moderne.
Or blanc enrichi au palladium pour une blancheur pure, lumineuse et éclatante.
Alexandre Beauregard ne se contente pas d’offrir un garde-temps, il vous invite dans un vaste univers où l’art du lapidaire converge avec l’horlogerie suisse dans ce qu’elle a de plus raffiné. Avec une grammaire esthétique qui puise dans les mondes de l’art, du design et de la mode, ces pièces se distinguent par un niveau de sophistication inégalé. Ici, l’artisanat règne en maître. Le fil conducteur est toujours la main humaine, instrument ultime de la créativité.
Chaque création est un chef-d’œuvre singulier, illustrant le summum du savoir-faire artisanal. Au cœur de chaque création se trouve la touche irremplaçable de la main, l’outil ultime de l’expression humaine. La taille et le polissage méticuleux de chaque pétale d’onyx nécessitent des heures de travail dévoué, conférant à chaque montre une profondeur et un éclat particuliers.
La Lili Bouton présente une monture délicate, mesurant 33 mm de diamètre et 9,65 mm de hauteur. Ornés de 125 diamants River, son boîtier, ses aiguilles et sa boucle sont délicatement travaillés en or rose 18 carats, ajoutant une dimension de luxe supplémentaire. S’écartant du design traditionnel, ce garde-temps résolument féminin est équipé d’un mouvement ETA de haute joaillerie et renonce à la couronne conventionnelle. Au lieu de cela, l’heure est réglée par un correcteur discrètement placé sur le fond du boîtier, préservant ainsi l’esthétique fluide et gracieuse de la montre. Or blanc enrichi au palladium pour une blancheur pure, lumineuse et éclatante.
Quant au modèle Lili, son boîtier est constitué d’un noble et précieux mélange d’or blanc enrichi de Palladium 500, pour un éclat pur, brillant et inaltérable. Cet alliage distinctif, remarquable pour son éclat pur, est non seulement plus durable et plus dur, mais conserve également son éclat inhérent, rendant inutile le rhodiage – fidèle à sa philosophie d’authenticité, Beauregard renonce délibérément à cette étape. Alexandre Beauregard compare l’application du rhodium sur l’or à la « peinture d’un diamant », une analogie frappante qui souligne l’engagement de la marque à maintenir l’allure naturelle et l’intégrité des matériaux dans la création de garde-temps exquis.
Les bracelets, réalisés dans un somptueux satin naturel, sont entièrement faits à la main à Genève. Dotés de trois points d’attache rapide, ils peuvent être changés en quelques secondes, sans effort et sans outil.
Dans le monde de Beauregard, où l’exception est la règle, l’artisanat et l’art s’entremêlent…
L’univers de Beauregard déploie une esthétique qui élève la perfection technique au rang d’art. Une maîtrise qui se démontre plutôt qu’elle ne se proclame. L’essence d’une montre Beauregard – avec tous ces aspects infimes et invisibles que l’œil ne peut percevoir, mais que le cœur peut ressentir – est suggérée par quelques faits et chiffres éloquents :
0,02 mm – La tolérance méticuleuse appliquée à la géométrie de chaque pierre – taillée à la main et souvent par Alexandre lui-même – pour créer le sertissage invisible.
13 – Le nombre de fois consécutives où Alexandre a participé à la Tucson GemFair en Arizona, la plus grande foire de pierres précieuses au monde.
600 – Le nombre de diamants VVS River sur la montre Dahlia.
Plus de 50 – Le nombre de variétés de pierres précieuses qui sont taillées, façonnées et polies dans l’atelier. Améthyste, topaze, aigue-marine, chrysoprase, prasiolite, cornaline, corail, opale turque, opale de feu, opale chocolat d’Oregon, onyx, nacre, ammolite irisée, opale noire d’Australie, tsavorite, citrine, phosphosidérite, turquoise, lapis-lazuli, amazonite, quartz précieux, péridot, opale rose… la liste est enchanteresse et évoque des contrées où habitent les fées.
4 – Les membres de la famille impliqués dans l’odyssée chronométrique de Beauregard : Alexandre, son épouse et leurs deux enfants, qui contribuent chacun à leur manière à l’indépendance de la Maison familiale.
8,6 – Le nombre total de carats de pierres rares sur une seule pièce Lili.
15 – L’angle précis, en degrés, de la lunette de la Lili. « Si c’est 15°, c’est parce que j’ai essayé 14° et 16°, et ça n’a pas marché », explique Alexandre. Nous le croyons sur parole.
3 – C’est l’épaisseur, en millimètres, d’un cadran Beauregard. C’est trois fois la moyenne de l’horlogerie conventionnelle, où la matière est la plus fine possible, au détriment de la profondeur et de la couleur.
80 – C’est le pourcentage de rejet des premiers cadrans de montres Beauregard. Aujourd’hui, les chiffres sont inversés : 20 % ne passent pas la rampe et 80 % répondent aux normes les plus strictes.
3 – Le nombre de nominations au Grand Prix d’Horlogerie de Genève (GPHG) : en 2018 pour Dahlia C1 (Complication dame), en 2020 pour Lili (Dame) et en 2023 pour Lili Bouton (Dame).
30 – C’est le nombre de jours pendant lesquels Alexandre s’enferme pour chaque nouveau dessin. Au bout d’un mois, si l’esquisse résonne toujours avec la même magie, le voyage créatif peut se poursuivre. Dans le cas contraire, il est éliminé.
2018 – L’année de la fondation, marquée par le lancement de la montre tourbillon, pièce inaugurale et emblématique de Beauregard.
2023 – Cinq ans plus tard, la marque est solidement établie avec une présence inaugurale à Watches & Wonders en 2023.
2024 – L’année de la prochaine édition de Watches & Wonders à Genève, où Beauregard fera son retour.
Fiche technique
Beauregard Lili Onyx
Lili Bouton (boîtier rond)
Boîtier en or rose 18 carats Diamètre 33 mm Cadran Onyx, 8 carats – 37 diamants, VVS – Aiguilles en or rose Mouvement ETA Haute Joaillerie, sans couronne – Le réglage de l’heure se fait au dos de la montre Bracelet Boucle en or rose 18K – Satin naturel, fait main à Genève – Système de bracelet interchangeable.
Lili (boîtier rectangulaire)
Boîtier en or blanc 18 carats, sans couronne – Or enrichi au palladium sans rhodiage Diamètre 33 mm Cadran Onyx, 8 carats – 88 diamants, VVS – Aiguilles en or blanc Mouvement ETA Haute Joaillerie, sans couronne – Le réglage de l’heure se fait au dos de la montre Bracelet Boucle en or blanc 18K – Satin naturel, fabriqué à la main à Genève – Système de bracelet interchangeable.
André Tirlet