Ashaha (www.ashaha.com) est le manifeste d’un bijou indomptable. Des lignes symboliques et architecturales sur or brossé, un savoir-faire irréprochable se découvrant sur des opales irisées et le plexiglas futuriste mélangé aux diamants d’une manchette. Les éclats bleus des topazes et le rose des tourmalines des répondent dans un parfait équilibre.
Créoles, colliers accumulés, colliers à pompons, rivières de pierres et chevalières mixtes… Ashaha comme expression de soi, montre la force et la beauté de la femme dans le monde moderne. Ne la mettez pas dans une autre boîte, elle n’y rentre pas.
Uma Jemil, la fondatrice, déclare : « Quand je porte Ashaha, mes doigts ne sont plus faits de peau, mais de l’or de chaque bague. Mes collections libèrent la passion et la nature multiforme des femmes du monde. L’important est qu’elle soit indomptable ! ».
Femme Ashaha
Elle ne rentre dans aucune case, c’est vous, elle, ou bien une autre. Peu importe, du moment qu’elle se sent libre et qu’elle s’affirme. Une femme qui ne demande l’approbation de personne pour se présenter au monde et montrer son aura, sa féminité et son fort caractère. Elle a brisé toutes les conventions. Bijoux à son cou ? Une partie de son expression, une seconde peau. Pour ceux qui regrettent les années 70, à travers Ashaha, le charme inégalé des bijoux anciens, la liberté et les possibilités qui ont façonné la splendeur de cette époque, sont redécouverts.
Derrière Ashaha
Uma Jémil a grandi dans bulle artistique qui n’a jamais éclaté. Son père la pousse à se tourner vers un Institut de Gemmologie (GIA) quand il découvre ses peintures emplis de formes abstraites et les croquis de boucles d’oreille dans ses cahier d’écolière. Armée d’un diplôme, la jeune fille imagine de créer une dizaine de créations et pense qu’un jour sa marque, Ashaha, procurera de la force aux femmes d’aujourd’hui.
Le mystère de la vie est plus imaginatif qu’on ne le pense. En 2021, son âme d’artiste en rencontre une autre, Carole Guez, dont le parcours dans la mode et la joaillerie est à la fois éclectique et libre d’esprit. Uma explique : « Lorsque nous nous rencontrons en juillet 2021, Carol porte un sautoir, une clé du désert coulée dans de l’or brossé serti de diamants. Ce bijou ne pouvait présager que des étincelles… nous fusionnons admirablement, l’amour et la sophistication des ethnies en héritage. De mes racines berbères et de notre fascination pour le chic des lignes des années 1970 – décennie débridée vécue par Carole au travers de sa mère – Ashaha est née. »
Carole, comme un second souffle, est désormais à la direction artistique. Elle met Uma sous son aile, lui transmettant son savoir-faire, ses connaissances et son exigence jusqu’à ce qu’elle lui ouvre les ateliers parisiens de sa marque de bijoux éponyme pour construire les premiers designs d’Ashaha. Le vintage complète l’ADN berbère tout en demeurant dans l’air du temps. Carroll rajoute : « Nous sommes deux femmes fortes et vives, qui s’unissent pour libérer les femmes passionnées et multifacettes du monde ! »
Opale
Ashaha puise son ADN dans sa complexité, ses traditions mystiques et sa technicité pour la façonner en atelier. Uma est fascinée par l’indomptable gemme caméléon et aime à penser qu’elle apporte espoir, pureté et clairvoyance. L’opale ouvre la vie spirituelle de l’esprit et brille comme un état de grâce sur les bijoux d’Ashaha.
Conversation autour des créations
Chez Ashaha, l’intuition créatrice dépend de l’énergie la pierre. Les lignes géométriques fournissent des symboles inspirants. L’expertise des artisans se lit sur des opales iridescentes, du plexiglass futuriste et non conventionnel fusionné avec des diamants. Les éclats bleus de la topaze et le rose de la tourmaline s’entrechoquent en parfait équilibre. Créoles, colliers ras du cou, rivières en pierre, colliers à pompons et chevalières hybrides mettent en valeur la force et la beauté de celle qui les porte. Ashaha se libère des codes rigides de la joaillerie et révèle la femme du monde moderne.
Étoile NAJMA
Selon Uma : « C’est l’amulette d’Ashaha, aux lignes architecturales. L’étoile mystérieuse est plaquée sur le plexus, sur le front, dans le creux du dos, peu importe… elle reflète le savoir, l’aura, les chakras et le rayonnement d’une femme ! C’est le bouclier du cœur. »
D’après Carole : « Elle est déclinée en d’autres tailles, boucles d’oreilles et chevalières. L’étoile signifie beaucoup pour les tribus des civilisations anciennes qui entretenaient cette fascination pour les étoiles. Portée simplement avec une chemise blanche, c’est la possibilité de s’armer de ce savoir et de sa protection. C’est se procurer de la force !
Rayons de soleil SHAMS
Selon Uma : « J’ai eu la vision des créoles en rêve. Rayons dessinés avec des triangles symboliques… or brossé, ton vintage, topaze et diamants, émail vert.
D’après Carole : « Pourquoi bleu ? Parce que nous avons besoin de renouer avec quelque chose de rassurant, un havre de paix. Le bleu est régénérant, c’est une couleur infinie. Dans l’inconscient collectif, nous tendons tous vers les mêmes désirs. Ce sont aux créateurs à l’âme sensible de les exprimer.
Manchettes plexiglass ANZAR & DEHYA
Selon Uma : « Ne suivez qu’une seule règle, l’Art de la Haute Joaillerie ! Cette manchette est l’anticonformisme à son paroxysme. Futuriste, elle associe des matières nobles – opales et diamants – à la transparence du plexiglass pour redéfinir les portés, l’appropriation du bijou et l’expression de soi ».
D’après Carole : « La manchette était un bijoux très en vogue dans les années 70. Elle féminité forte et révéle la sophistication du poignet sous l’impact de la matière qui le protège ».
Bagues en empilage AKU
Selon Uma : « Les bagues sont bien plus puissantes lorsqu’elles sont entrelacées et empilées (stacking), comme pour nos bracelets SANA et nos chockers SHIRAZ sertis de pierres précieuses.
D’après Carole : « Ces bagues en or jaune et diamants taille brillant sont interprétation de la cage ouverte de l’oiseau libre. Chez Ashaha, la liberté est le concept de chacune de nos créations de haute joaillerie. Les femmes fortes veulent la liberté pour bannière ».
André Tirlet