Les codes du petit monde de la joaillerie sont bousculés par Svetlana de Voronine et Richard Larget, les fondateurs d’Aronine, le petit joaillier 3.0.
Tout en continuant à proposer des créations joaillières artisanales uniques, toutes réalisées à la main dans leur atelier, ils mettent en ligne un concept original d’une sélection trimestrielle de 10 pierres exceptionnelles où chaque client pourra choisir ; soit les acheter seules ou soit les transformer en bijoux sur-mesure. La collection Printemps 2021 est déjà en ligne !
Un concept inédit en France, une expérience unique
Plus qu’une marque de joaillerie, Aronine c’est un état d’esprit à promouvoir le savoir-faire artisanal, la précision des gestes et un design innovant. Résultat : des créations uniques au style authentique et à l’élégance discrète. Animée par cette volonté d’excellence, la jeune marque française lance un concept inédit de ventes en ligne : le Bar à Gemmes !
Chaque trimestre, on y retrouve une sélection de pierres d’exception choisies par le duo joaillier et leur gemmologue. Des coups de cœur pour la couleur, la pureté, la taille et le potentiel créatif. Le soin apporté au choix est la garantie d’une qualité incomparable et irréprochable. L’achat ainsi réalisé se transformera en bijou unique sur-mesure au plus grand bonheur du client qui pourra vivre une expérience créative joaillière incroyable.
Pour son édition Printemps 2021, le Bar à Gemmes propose une sélection de 10 pierres fabuleuses : une Topaze Impériale, un Saphir d’Auvergne, un Saphir jaune vert, un Saphir brun, une Tourmaline pêche, un Spinelle rose, un Saphir bleu vert, un Saphir violet et une paire de Maw Sit Sit. Après son choix et son achat, le client a trois possibilités : garder la pierre nue, la faire monter sur une monture issue des collections Aronine ou pour les pierres rares, la création d’un bijou sur-mesure. Pour cette dernière possibilité, le bijou 100 % personnalisé, Aronine organise l’aventure créative avec le client par une série de rendez-vous (en boutique, par mail, téléphone ou visio conférence), la réalisation d’un dessin à la gouache, l’établissement d’un budget spécifique et la fabrication du bijou à la main en quelques semaines.
Parmi les « must-have » de la sélection, on y retrouve :
la Topaze impériale, assez rare et peu connue, à la couleur variant du rose au doré en passant par l’orange. La gemme sélectionnée est taillée en rectangle à pans coupés qui met en valeur le dégradé de couleur (500 euros) ;
la Perle facettée obtenue dans les années 80 par un diamantaire japonais exigeant. Une innovation joaillière qui donne à la perle classique de la modernité et un éclat envoûtant (1 450 euros) ;
une paire de Maw Sit Sit au vert éclatant. Très graphiques pour créer des boucles d’oreilles sur-mesure et avec du diamant noir, l’ensemble sera sublimé (990 euros) ;
le Saphir bleu vert, une magnifique gemme de 2.15 carats à la couleur intense et lumineuse. On y retrouve les couleurs changeantes de la Mer des Caraïbes (3 930 euros).
Aronine, la joaillerie 3.0
Aronine, c’est l’assurance de bijoux fabriqués à la main et en atelier à Lyon. Les deux joailliers passionnés, Svetlana de Voronine et Richard Larget, en ont fait leur cheval de bataille, l’assurance d’offrir des créations de qualité garanties 10 ans. Les bijoux aux lignes épurées et modernes et un travail de fond sur le sertissage mettent en valeur les gemmes… s’en libère une identité visuelle forte
Mais Aronine, c’est aussi un site de vente en ligne (e-shop) qui libère l’imagination :
Ainsi, l’on peut créer en ligne SON alliance parmi quelque 15 000 modèles. Edouard, un outil high-tech 3D Temps réel, très innovant dans la haute joaillerie horlogerie, est utilisé par ce « petit » artisan joaillier. Le client, en toute simplicité, donne vie au bijou original qu’il souhaite et qui lui ressemble. La réalisation de la commande se fait directement à la main en atelier.
On peut personnaliser 4 collections de bijoux (bagues, boucles d’oreilles, colliers et pendentifs). Ce n’est plus un problème grâce à la réalisation à la main de visuels gouachés en modifiant la couleur du métal et le type de pierre sertie (spinelle gris, saphir bleu, diamant champagne, etc.).
Enfin, on peut acheter des gemmes d’exception et les transformer en bijoux sur-mesure avec le Bar à Gemmes.
Les joailliers responsables
Aronine valorise les savoir-faire locaux avec des écrins fabriqués par un gainier en France, et en étant membre du réseau « Répar’acteur », elle propose des bijoux garantis 10 ans. La protection de la planète n’est pas oubliée avec des emballages en carton et papier issus des forêts durables, des métaux précieux issus du recyclage français, l’utilisation de pierres « responsables » comme les saphirs d’Auvergne sans impact environnemental et taillés par des lapidaires français. Important également, Aronine veille aux bonnes conditions de travail et de rémunérations de ses partenaires.
Aronine, une histoire de personnalités
Svetlana de Voronine est née à Grasse en 1992. Après une enfance à sillonner les mers du monde, cette collectionneuse passionnée de gemmes s’est consacrée à la joaillerie après un cursus en arts appliqués et un apprentissage chez des artisans-joailliers lyonnais qui lui ont permis de collectionner des prix d’excellence.
Richard Larget né à Rodez en 1993, d’une lignée de plusieurs générations de joailliers, s’est formé à Toulouse, Lyon et Paris et est médaillé de Bronze au concours des Meilleurs Apprentis de France. Enthousiaste, il est aussi sapeur-pompier volontaire.
Les deux, diplômés en Arts et Techniques de la Bijouterie Joaillerie, se sont rencontrés en 2012 à l’Ecole des Métiers SEPR de Lyon. En 2015, ils créent l’Atelier Joaillier au centre historique de Lyon et y fabriquent leurs propres créations. En 2020, accélération du développement et création d’Aronine, un e-shop, site de vente en ligne de joaillerie. En octobre de la même année, c’est le lancement du Bar à Gemmes, fenêtre ouverte sur l’équipe d’artisans joailliers.
Ces deux personnalités ne manquent pas d’ambition, il souhaite poursuivre leur développement en France et à l’internationnal. A suivre…
André Tirlet